Mustapha El Ouakhoumi. Guide indépendant. Patente 41670080 - Id. fiscal 62420460 - 2010 - 2012 - Conception : SLF Consulting
Dernier rempart avant le Sahara, le Saghro présente un visage particulier. Il n’est plus montagne du Haut-Atlas, mais il n’est pas encore désert de sable. Il est un peu des deux à la fois.
Surnommé le Hoggar marocain, il n’est pas sans rappeler non plus les paysages fantasmagoriques du Far-West. Ses colonnes basaltiques de plusieurs centaines de mètres de hauteur parsemant de grands plateaux désertiques en font un panorama lunaire.
Cet environnement qui semble hostile abrite cependant une tribu nomade, les Aït Atta. En effet, quelques oasis rafraîchissantes, de petits canyons aquatiques apaisent cet ensemble minéral en apportant vie et réconfort.
Vous aurez l’occasion de rencontrer ce peuple berbère qui vit au rythme des saisons, passant l’été sur les hauts pâturages du Haut Atlas, et redescendant pour l’hiver profiter du climat plus clément du massif du Saghro.
Venez vous ressourcer au cœur de cette culture et de cet environnement pour finir l’année 2011 en toute sérénité.
Ce séjour vous intéresse, contactez-nous.
Oasis et lumières - Le paysage minéral du Saghro
Période favorable : mi-décembre à mi-janvier
Durée du séjour : 8 jours
Niveau : facile (2/5)
Hébergement : 1 nuit à l’hôtel, 5 nuits en bivouac, 1 nuit en riad.
Trekking : 4 jours de marche.
Encadrement : guide de montagne D.E., cuisinier, muletier
Assistance : mulets de portage.
Programme Général
- Jour 1 : Arrivée à Marrakech, nuit à l’hôtel
- Jour 2 : Transfert pour rejoindre le pied du Djbel Saghro. Nuit en bivouac.
- Jour 3 à 6 : Nous marcherons de 4 à 6 heures par jour, cheminant par des itinéraires ne présentant pas de dénivelés trop importants. Nous traverserons l’un ou l’autre col, déambulant entre de majestueux pitons rocheux, descendant de petites gorges, traversant de grands plateaux avant d’aboutir dans des oasis régénerantes. Nuits en bivouac.
- Jour 7 : Transfert vers le site du réveillon.
- Jour 8 : Retour en France.
